Située dans les quartiers commerçants, la rue des drapiers portait bien son nom: à tous les étages, dans les sous-sols et même sur les trottoirs, partout on vendait du tissu.
La rue était un immense marché bourdonnant. Les clientes s’arrêtaient, se bousculaient devant les étalages, regardant et palpant les étoffes.
Elles s’inquiétaient des prix, elles admiraient les soies brillantes.
Les vendeurs s’affairaient, mesuraient, coupaient, promettaient les prix les plus
intéressants.
C’était un monde de cris, de couleurs, de
mouvements.
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